13 avril 2019

Comme depuis que nous sommes arrivés au Japon, le temps pratique l’alternance : les montagnes en témoignent.

Comme hier, nous trouvons dans la ville un petit temple miniature :

Bref passage dans un temple en restauration, Rinnoji, qui nous permet d’assister au Goma, le rituel du feu, qui consiste à faire brûler les baguettes porteuses de voeux ou de messages pour que ceux-ci puissent être transmis aux divinités (photos interdites).

Nous rejoignons ensuite la villa impériale Nikko Tamozawa, un superbe palais, d’une sobriété toute japonaise, édifié en 1899 et occupé jusqu’en 1947.

Cette vaste résidence de vacances, totalement restaurée et classée comme patrimoine national par le Japon, compte pas moins de 106 pièces et son parc fait partie des 100 jardins historiques du Japon.

L’arrivée sur le palais :

Les pièces les plus significatives de l’architecture intérieure :

Avec de belles vues sur le parc :

Et même une salle de billard :

Vue de l’extérieur, ce n’est pas mal non plus :

Et en plus, quand les visiteuses viennent en kimonos !!!

Pas question de kimonos pour notre deuxième visite, le site de Kanmanga Fuchi, célèbre pour son allée bordée de 70 Jizôs, même si la tenue est de rigueur :

Tous à la fois semblables et pourtant différents :

Un peu plus loin, un cimetière shintoïste et bouddhiste, à la symbolique si différente de la nôtre :

Un dernier passage par les temples pour finir, avec les Torii shintoïstes de Futurasan, en bois peint et en pierre…

… et dans chacun, des porte-bonheur en tous genres, Omamori (pochettes de protection), omikuji (petits papiers tirés au hasard et noués sur des fils) ou petits coeurs de bois, que nous vous adressons pour vous porter chance :

Demain, départ en train pour Yamagata, où nous restons trois nuits.

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