9 décembre 2018

Plein soleil et grand bleu ce matin. Le moment ou jamais de visiter les lieux immanquables de Rio.

A commencer par le Christ Rédempteur. Située en haut du Mont Corcovado, à 710 m d’altitude, haut de 38 mètres et d’une envergure de 28 mètres, cette statue, conçue par un ingénieur Brésilien, un sculpteur Français et un sculpteur Roumain fait partie des 7 nouvelles merveilles du monde.

De là-haut superbe vue des plages de Copacabana, à gauche de la colline et d’Ipanema à droite.

Le plan d’eau au premier plan est la lagune Rodrigo de Freitas, juste avant la plage d’Ipanema.

Et sur la gauche, on découvre au loin le pont de plus de 13 km au dessus de la baie de Guanabara, qui relie Rio à Niteroi, une ville de 400 000 habitants, considérée par l’ONU comme la plus agréable à vivre au Brésil.

Mais aussi, bien sûr, une vue exceptionnelle sur un autre emblème de Rio, le Pain de Sucre, objet de notre prochaine visite.

Due haut du Pain de Sucre, à 396 m d’altitude, accessible par deux téléphériques successifs, on est aux premières loges pour admirer la plage de Copacabana :

Et la vue générale un peu plus à droite permet de voir Copacana, le Christ rédempteur, et le port de plaisance, sans oublier la petite plage de Vermelha.

Sur la droite encore, avec tous ses immeubles, le centre de Rio, avec tout près, l’aéroport domestique (ce n’est pas celui qu’on rejoindra demain, qui se trouve sur une île tout au fond).

Toujours plus à droite, Niteroi,

Vu de là-haut, on comprend bien les problèmes de Rio, ville de plus de 6 millions d’habitants coincée entre la mer et les collines recouvertes de forêt Atlantique et son qualificatif de « tentaculaire ».

Tant au Christ Rédempteur qu’au Pain de Sucre beaucoup de petits singes exotiques, des  micos, une espèce exotique importée qui a envahi les forêt de Rio et qu’on avait déjà croisée à Parati.

En redescendant du pain de sucre, on rejoint la plage de Cobacabana à pied en traversant notamment le quartier de Batafogo, non sans avoir jeter un dernier coup d’oeil au pain de sucre et à ses téléphériques.

En arrivant sur Cobacabana, nous retrouvons ses pavés très caractéristiques :

Nous sommes à l’opposé de la plage par rapport à hier. Elle est ici très très large. Compte tenu du beau temps, il y a aussi beaucoup plus de monde…

…Des vendeurs ambulants…

… Des kiosques numérotés (au moins 150), qui louent des sièges, vendent boissons et nourriture, offrent des douches, et bien sûr, du Wifi à leurs clients.

… Et en signe d’adieu du Brésil, puisque nous partons demain, un dernier maillot face aux vagues…

 

Ce contenu a été publié dans Carnet de bord. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire